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L’accompagnement des migraines

Migraines avec ou sans aura

Saviez-vous que 15 à 20 % de la population mondiale serait concernée par les migraines ? Il faut souligner cette situation paradoxale : les migraines sont fréquentes mais souvent méconnues, invalidantes mais rarement prises au sérieux. Il n’existe à ma connaissance aucune « spécialité » médicale dédiée à la prise en charge et à l’étude des migraines. Les migraines sont taxées d’incurabilité, alors mythe ou réalité ? Suivez-moi pour en savoir plus !

Migraine ou céphalée ?

La migraine est insidieuse et peut être particulièrement invalidante. Pour le coût, il n’y a pas de ratio d’équité car les femmes sont beaucoup plus touchées que les hommes (environ trois femmes pour un homme). Les personnes concernées ont le plus souvent moins de 40 ans. Elle se caractérise par de violents maux de tête, qui peuvent s’accompagner de nausées, de vomissements, d’hypersensibilité à la lumière et au bruit. Les migraines peuvent être précédées ou non d’une aura.

La migraine n’est pas un mal visible par l’entourage familial ou professionnel. Il n’y a pas de signes extérieurs qui montrent la souffrance dans laquelle est plongée le migraineux ! L’examen physique est normal ainsi que les prises de sang, l’électroencéphalogramme, les radiographies et l’IRM de la tête. Tout va bien mais rien ne va plus! Cette normalité permet toutefois d’éliminer les autres causes des maux de tête qui pourraient être bien plus grave.

L’ISH, qui est la société internationale de la migraine (International Headache Society) a mis à jour en 2018 une classification plus précise des différentes formes de migraines : avec ou sans aura, chronique ou épisodique, migraine abdominale ou rétinienne…  Tous les maux de tête ne sont donc pas des migraines même si cette dernière est la plus fréquente des treize variétés de maux de tête répertoriées.

La céphalée de tension est une autre forme également fréquente et souvent taxée à tort de « migraine quotidienne». Elle est caractérisée par un mal de tête permanent chronique ; les personnes disent avoir mal « du matin au soir, et du soir au matin ». Les facteurs psychologiques y jouent un rôle prépondérant.

Selon IHS, la migraine sans aura doit présenter au moins cinq crises répondant aux critères suivants :

• Des crises qui durent de 4 à 72 heures (sans traitement).

• Les maux de tête doivent avoir au minimum deux des caractéristiques suivantes : unilatéralité, pulsatilité, intensité modérée à sévère, aggravation par les activités physiques de routine comme la montée des escaliers.

• Elle doit avoir au moins un des caractères suivants : nausées et/ou vomissements, intolérance à la lumière et/ou au bruit

Selon IHS, la migraine avec aura se présente sous 4 formes :

• Visuelle ou ophtalmique (99 % des cas) sous forme d’un point lumineux qui persiste les yeux fermés ou d’impression lumineuse ou encore de vision floue.

• Sensitive sous forme d’un engourdissement ou de fourmillement d’un bras ou d’une main.

• Aphasique sous forme de troubles du langage.

• Motrice sous forme de trouble moteur ou sensitif transitoire.

La migraine avec aura doit présenter au moins deux crises au cours desquelles les maux de têtes ont au moins trois des quatre caractéristiques suivantes :

– Le trouble de l’aura se développe progressivement sur plus de quatre minutes.

– Si plusieurs symptômes sont associés, ils se développent successivement.

– La durée de chaque symptôme ne dépasse pas 60 minutes.

– Le mal de tête fait suite à l’aura dans un délai maximum de 60 minutes.

Que se passe – t – il pendant une migraine ?

Le mécanisme de la migraine n’est pas encore formellement établi. Les avancées les plus importantes dans la compréhension de la physiopathologie des crises sont venues, d’une part, des études du débit sanguin cérébral et du métabolisme cérébral, d’autre part, du développement chez l’animal d’un modèle de céphalée migraineuse : l’inflammation neurogène. Les études de débit ont montré, au cours de l’aura, une hypoperfusion cérébrale envahissante. En français, cela signifie que le débit sanguin devient insuffisant dans une partie du cerveau, sans toutefois entraîner des séquelles ou symptômes neurologiques. Cette partie du cerveau pourrait impliquer des neurones sérotoninergiques et/ou adrénergiques.

Il n’a pas été retrouvé de gène responsable de la migraine. En revanche, il semble exister une prédisposition familiale dans environ 70 % des cas.

Contrairement à la théorie vasomotrice classique, la céphalée ne serait donc pas due à une vasodilatation des artères cérébrales elles-mêmes mais elle est toujours sous-tendue, au moins en partie, par la dilatation des artères méningées.

La naturopathie repose beaucoup sur la prévention. Il me semble donc judicieux de rappeler certains facteurs aggravants qui sont souvent cités :

  • le stress chronique ou un stress ponctuel fort, les chocs émotionnels,
  • le manque de sommeil ponctuel avec typiquement la migraine qui survient un lendemain de fête ou d’insomnie,
  • la déshydratation,
  • Les fluctuations hormonales dans le cycle de la femme, pendant la grossesse…
  • les repas riches, gras et copieux surtout le soir. Les excès de chocolat et d’alcool sont souvent pointés du doigt.
  • Des tensions dans les cervicales ou dans la mâchoire

Ces éléments peuvent être isolés : on sait par exemple que la survenue des règles peut suffire à déclencher la migraine. Mais, souvent, c’est l’association de plusieurs causes qui finit par se décompenser en migraine. Pour faire la part dans les facteurs de sensibilité, je conseille régulièrement aux migraineux de tenir un journal de la migraine sur plusieurs semaines : certains éléments vont ressortir de façon très claire comme déclencheur ou facteur aggravants les migraines. Souvent, je distingue les facteurs mécaniques, environnementaux, alimentaires et hormonaux.

Quels sont les traitements habituels de la migraine ?

Les femmes sont plus touchées que les hommes par les migraines

A ma connaissance, il n’y a pas de schémas thérapeutiques standards, et la prise en charge des migraineux se fait au cas par cas. En matière de traitement médicamenteux, les triptans, qui sont des agonistes des récepteurs de la sérotonine, sont efficaces dans le traitement de la crise de migraine et plus précisément dans celui de la céphalée migraineuse. Cette classe de médicaments vient donc s’ajouter aux trois autres grandes classes de médicaments utilisés dans le traitement des crises de migraines : les antalgiques (avec l’aspirine), les anti-nauséeux, les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les dérivés de l’ergot de seigle. A cela, il est souvent ajouté un pansement gastrique pour protéger des effets secondaires antalgiques et anti-inflammatoires… Bref, lorsque cela m’est arrivé il y a maintenant 20ans, je me suis retrouvée avec plein de petites gélules à prendre…et déjà à l’époque ce n’était pas ma tasse de thé d’appliquer un traitement symptomatique sans remonter à la cause du trouble … Je vais donc vous partager ma démarche.

Mon approche naturopathique :

La médecine moderne agit efficacement et rapidement sur les douleurs. Les approches complémentaires comme la naturopathie vont plutôt s’attacher à redresser un terrain devenu propice aux migraines.

Dans mon approche, la première étape consiste à tenir un journal de la migraine comme je le disais précédemment. Vous pourrez y noter la date, la durée et l’intensité de votre migraine. Il sera intéressant d’ajouter des informations comme la qualité du sommeil la veille, ce que vous avez mangé les dernières 24h, si vous avez consommé de l’alcool, vécu un stress particulier, fait un effort physique inhabituel. Pour les femmes, penser à noter à quel moment de votre cycle vous vous trouver.

En fonction de ce qui ressortira de votre journal de la migraine, le naturopathe pourra vous accompagner de façon personnalisée selon que les déclencheurs soient plutôt digestifs, hormonaux, ostéo-articulaires, émotionnels…

Voici quelques règles générales pour limiter l’apparition des épisodes migraineux :

– Se reposer régulièrement, éviter les couchers tardifs et les repas lourds le soir.

– Faire du sport d’endurance. Cela permettrait de prévenir les crises migraineuses. Cet effet bénéfique pourrait venir d’une meilleure oxygénation, ou encore de la production d’endorphines, substances naturelles antidouleur, provoquées par l’exercice.

– Faire la chasse aux additifs alimentaires notamment à l’aspartame et au glutamate.

– Se couvrir la tête et le cou en hiver, en cas de grand vent, de courant d’air ou de climatisation exagérée.

Dans les techniques disponibles pour la gestion du stress, la naturopathe pourra piocher dans les techniques respiratoires, dans la phytothérapie avec la mélisse ou la passiflore ou encore avec les fleurs du Dr. Bach.

Concernant les insomnies, l’approche se fera également au cas par cas.

Concernant les problèmes cervicaux : très souvent les migraines sont associées à des tensions des muscles cervicaux hauts, juste sous l’occipital. Il sera donc intéressant de les détendre en recherchant leurs causes : traumatisme direct ou secondaire à une chaîne musculaire qui peut partir de l’articulé dentaire ou des pieds (entorses ou fractures mal soignées). Des soins décontracturants seront indiqués : micro-kinésithérapie, méthode Mézières, ostéopathie, relaxation coréenne… Quelle que soit la technique employée, elle pourra apporter un soulagement.

Concernant les problèmes digestifs :

Les troubles de la vésicule biliaire sont très fréquents chez les migraineux. Le choix judicieux et éclairé pour une détox et un drainage hépatique pourront être réalisés.

N’oublions pas qu’un excès d’acidité peut également entraîner des migraines. La mesure du pH urinaire effectuée plusieurs jours de suite permettra d’identifier une acidose. De façon assez simple, vous pourrez améliorer votre terrain : pensez à bien vous hydrater à distance des repas, pratiquer un exercice physique adapté et quotidien donnant lieu à une bonne oxygénation, favorisez une alimentation alcaline le temps de rééquilibrer votre pH urinaire.

Le saviez-vous ? La consommation d’un café bien serré, idéalement fraîchement torréfié, peut agir favorablement sur la migraine. Toutefois, en dehors de ces épisodes migraineux, éviter de trop consommer d’excitants…

D’après Alternatives Santé, la vitamine B2 ou riboflavine, prise à forte dose aurait un effet positif chez certains migraineux. Veiller à avoir de bons apports alimentaires en magnésium

Le cas des dérèglements hormonaux :

Les migraines au moment des règles ou de l’ovulation sont des signes d’un déséquilibre hormonal qu’il est possible d’accompagner au cas par cas.

Le cas des candidoses : Les candidoses, souvent oubliées, sont pourtant largement suspectées comme causes de migraines. La plus connue est liée au Candida albicans qui secrète pas moins de 35 toxines différentes. Parmi ces substances, je citerais la candidine qui est neurotoxique. Il est possible de rechercher une mycose par prélèvement oral, fécal ou vaginal, même si des résultats négatifs ne peuvent exclure formellement une mycose.

D’autres thérapies pourront aussi être efficaces par elles-mêmes contre les migraines : l’acupuncture, l’ostéopathie et particulièrement l’ostéopathie crânienne, la sophrologie…   La migraine impose l’arrêt des activités habituelles mais ne laisserait aucune séquelle dans l’organisme, malgré l’intensité des symptômes. Elle est souvent vécue dans l’isolement et elle a un retentissement profond sur les relations familiales ou sur l’équilibre psychique. Alors n’hésitez pas à en parler et à vous faire accompagner par un professionnel de santé !

Sources :

« Inserm (dir.). La migraine : Connaissances descriptives, traitements et prévention. Rapport. Paris : Les éditions Inserm, 1998, XVI- 280 p. – (Expertise collective). – http://hdl.handle.net/10608/200 »

Alternatives Santé

https://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/200/?sequence=6

Alimentation santé, Conseils santé, cosmétiques naturels, Femme, Grossesse et maternité, Huiles essentielles, massage, peau

L’huile de ricin

Vertus et usages traditionnel de l’huile de ricin

Le ricin (Ricinus communis) appartient à la famille des euphorbes. C’est une magnifique plante annuelle qui aime les climats chauds comme le pourtour méditerranéen! Traditionnellement, c’est l’huile extraite des graines qui est utilisée.

Au 18ième siècle, l’huile de ricin est le purgatif le plus populaire en France. A cette époque, un adulte prenait 5g d’huile dans un jus pour un effet laxatif et 15g pour un effet purgatif. Cet usage est désormais déconseillé car la purge est jugée violente.

Autres usages

Force est de constater que le succès de l’huile de ricin à travers le monde provient essentiellement de son action sur la pousse des cheveux, dont elle freine aussi la chute. Elle est traditionnellement conseillée pour renforcer les cils et les ongles. Son principe actif, l’acide ricinoléique, stimule les prostaglandines situées au niveau du cuir chevelu. Pour donner un coup de fouet à la pousse, appliquez-la en masque sur les racines de vos cheveux pendant 20 minutes avant votre shampooing habituel. Sur les longueurs, elle renforce la fibre capillaire et répare les cheveux secs et fourchus. Vous pouvez aussi profiter de ses vertus anti-inflammatoires cutanées!

Le grande guide le l’aromathérapie et des soins beauté naturels propose une recette pour atténuer le disgracieux masque de grossesse : 3 ml d’huile de ricin + 1 ml d’huile essentiel de céleri + 1ml d’huile essentiel de carotte. Appliquer le mélange chaque soir, selon les précautions d’usage habituelles.

Sources :

Le petit Larousse des plantes qui guérissent

Alternatives Santé et Plantes et Santé

Femme, ménopause, Spiritualité

Bien vivre sa ménopause

La vie d’une femme est rythmée par les cycles hormonaux de la puberté à la ménopause, ce qui lui confère toute sa belle singularité.

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Pour aborder la ménopause avec sérénité

La ménopause n’est pas une maladie et on ne la soigne pas! En revanche, il y a différente façon de vivre cette étape.  Au niveau physiologique, C’est un état qui marque la fin de la fertilité et se caractérise par la diminution progressive de l’activité ovarienne. Il est important de ne pas confondre fertilité avec féminité, puisque la femme reste femme quelque soit son âge! La ménopause, est une nouvelle étape dans la vie d’une femme : celle de l’accomplissement.

 

Sur le plan naturopathique, l’accompagnement se fera tant sur le plan psychique que sur le plan physique pour réduire les désagréments : sécheresses vaginales, perte de libido, insomnies, bouffées de chaleur, irritabilité, …

De nombreuses solutions naturelles permettent de ramener le corps à l’équilibre, dans le respect de la femme : diététique, phytothérapie, cataplasme, … 

La première étape consiste à déterminer votre climat hormonal et de mettre en place une prise en charge primaire (basée sur des conseils hygièno-diététiques). Passée cette première phase d’ajustement, votre naturopathe pourra vous conseiller de façon individuelle pour corriger votre terrain. Cet accompagnement peut se faire en parallèle de votre suivi médical habituel.

Femme, Grossesse et maternité, Spiritualité

Se reconnecter à la femme sauvage

parentalite
La parentalité

En devenant mère, pendant un temps nous mettons de côtés certaines de nos activités; nous nous adaptons au rythme du pitchou. Pour ne pas ressentir de frustrations, nous faisons taire certains de nos désirs, puisque de toute façon nous ne pourrons pas les assouvir sereinement pour le moment (voyage, formations, changements de travail, …). Pendant un temps, il est vrai que souvent les mamans se consacrent à leur cher nourrisson puis bébé. Et parfois, un deuxième bout de chou  arrive, …

Certaines femmes se sentent isolées, lorsqu’elles gardent leurs enfants. Il y a ce sentiment partagé entre le fait de se réjouir d’être acteur de l’éveil de son bébé et de passer ses journées avec lui et le fait d’avoir besoin de discuter avec des adultes, de rechercher des projets motivants, sollicitant l’intellect … Parfois, vient s’ajouter un sentiment de culpabilité « Pourquoi est – ce je me sens triste alors que je passe la journée avec mon enfant? »…

Il arrive aussi, qu’à force de taire ses envies et de faire passer la famille en premier, le désir et la motivation nous quittent… pour un temps!

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Super Maman ! L’héroïne du quotidien

Il y a aussi la charge quotidienne de tâches en tout genre et la fatigue qui s’accumule le long des mois. A tel point, qu’on en arrive à trouver le travail reposant (et oui on peut boire une tasse de thé sans être sollicitée!)

Face à ce phénomène courant de sentiment d’isolement, il est tout de même bon de souligner que les pères sont généralement bien plus présents que pour la génération précédente. Et les papas qui prennent un congé parental peuvent se retrouver avec ce même sentiment ambivalent, entre joie et perte de motivation.

Et pourtant, nos enfants nous enseignent chaque jour à apprécier l’instant présent, à nous réjouir de la pluie et du vent qui souffle. Ils nous amènent à devenir meilleur. Bref, la famille que nous avons construit devient notre socle et nourrit notre essence.

De nombreuses structures permettent aux jeunes parents de se retrouver régulièrement pour échanger entre eux et laisser le temps aux enfants de faire connaissance et de jouer.

Pour ma propre expérience, chaque jour j’ai ressenti le besoin d’être dehors, de me promener au marché, en forêt, de sentir et d’user de mes 5 sens et d’écouter le chant de la nature. Ces moments « ressources » m’ont aidé à rester dans la joie. Je me suis également organisée pour pouvoir chaque semaine m’accorder un temps rien que pour moi (hammam, vélo, prendre un verre avec une amie, …). C’est moment qui me faisaient culpabiliser au début, m’ont aidé à me sentir bien et donc à être bien avec mon enfant et le papa.

A chacun de trouver la position du curseur pour être en équilibre.

En hommage à toutes les mamans,

Malika Cécile

 

 

 

Femme, Grossesse et maternité, Huiles essentielles

Les vergetures

Définition

Lorsque la peau est soumise à un étirement rapide, important, il arrive que les fibres élastiques du derme se rompent. D’abord violacées, les vergetures deviennent ensuite blanc nacré.

Mieux vaut prévenir que guérir!

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Rose musquée

Les vergetures sont de plus en plus difficiles à éliminer au fur et à mesure de leur cicatrisation (lorsque le tissu devient blanc-nacré), mieux vaut donc prévenir que guérir. Pour éviter leur apparition, appliquez quotidiennement sur les zones qui risquent de se détendre des soins nutritifs et assouplissants comme les huiles végétales :

jojoba, amande douce, rose musquée, …

Si les vergetures sont déjà là!

Certaines huiles essentielles sont réputées pour leurs vertus régénératrices. Pour n’en citer que quelques unes :

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Callophylle

Huile de calophylle : Elle est réputée pour son action régénérante sur les tissus cutanés, elle favorise l’élimination des cellules mortes de l’épiderme abîmés et redonne de l’élasticité à la peau.

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Huile d’avocat

Huile d’avocat : Elle est réputée pour son action cicatrisantes.

Huile de rose musquée : elle est connue pour activer la réparation de la peau.

Mon huile de soin « gommante » pour vergetures installées

Dans un flacon compte-gouttes en verre ambré ou bleuté de 15ml, versez successivement avant de mélanger :

  • Huile végétale de rose musquée ou de calophylle bio : 1 cuillère à soupe

  • Huile essentielle d’immortelle (Hélichryse italienne) : 40 gouttes

  • Huile essentielle de sauge sclarée : 15 gouttes

  • Huile essentielle de niaouli : 40 gouttes

Conseils d’utilisation : 2 à 3 fois par jour, appliquez 1 à 2 gouttes de cette huile fortement aromatisée sur chaque vergeture et massez très activement pour faire pénétrer. Les résultats ne seront visibles qu’après 1 mois au mieux, patience donc.

Précautions : Attention, cette huile de soin ne convient pas aux femmes enceintes ou allaitantes, ni aux femmes sujettes à un cancer hormono-dépendant. Si vous êtes dans l’un de ces cas et souhaitez atténuer une vergeture, utilisez seulement de l’huile végétale de rose musquée ou de calophylle.

Source : Site Aroma-zone, Julien Kaibeck, Les huiles végétales c’est malin

 

AVERTISSEMENT :

Pensez à consulter les précautions d’emploi avant toute utilisation des huiles essentielles.

Ces propriétés, indications et modes d’utilisation sont tirés des ouvrages ou sites Internet de référence en aromathérapie, hydrolathérapie et phytothérapie. On les y retrouve de façon régulière et pour beaucoup confirmés par des observations en milieu scientifique. Toutefois, ces informations sont données à titre informatif, elles ne sauraient en aucun cas constituer une information médicale, ni engager notre responsabilité.