L'art d'associer les techniques traditionnelles aux connaissances modernes
Auteur : Malika Cécile Naturopathe à Montpellier, Ganges
Ingénieur en environnement, toxicologue, biologiste, chimiste, botaniste et naturaliste depuis 2007
Formée à l'art de la Naturopathie-iridologie depuis 2015
Consultation sur RDV au cabinet de Ganges, d'Aniane (34) ou de Montpellier (34)
Possibilité de rdv à domicile
Dans son livre « Do In », Jean Rofidal définit avec ces mots la maladie :
Do In
« La maladie est un avertissement, c’est une amie qui nous révèle notre rupture d’harmonie avec l’Univers ». Dans cette optique, la naturopathie nous apprend à l’accepter plutôt qu’à l’attaquer, à se servir des indications qu’elle nous donne pour trouver où sont nos erreurs et les corriger.
La naturopathie nous enseigne à ne pas figer notre attention uniquement sur la partie du corps où est apparu le signal d’alarme mais à reprendre le corps dans son entier.
Notre corps obéit à des lois destinées à assurer l’harmonie, l’homéostasie. Dés qu’une zone devient sensible au toucher ou moins souple, c’est le signe du début d’un déséquilibre, d’une accumulation de déchets/de tensions pouvant conduire à un mauvais fonctionnement du corps. Notre organisme est très fort pour « emballer » les déchets puis de les éliminer. Vous comprendrez bien, avec cette image qu’il est préférable de sortir les « poubelles » régulièrement, plutôt que de les laisser s’entasser avec un sac qui pourrait se déchirer et répandre son contenu… L’énergie nécessaire à évacuer un sac poubelle n’est pas la même que celle nécessaire à vider une benne…
Douleurs articulaires
Je vous invite donc à être attentif aux réveils nocturnes répétitifs, aux zones sensibles au toucher, à la survenu de coup de pompe ou d’une baisse de moral, à vos pulsions sucrées,… Ce sont des indices précieux pour rétablir votre équilibre avant que les petits troubles ne deviennent de grands maux.
Caroline, professeur de Yoga et Malika Cécile, Naturopathe Iridologue, vous accueilleront au cours de ce week-end du 19 au 21 octobre 2018. Il vous sera proposer d’associer plusieurs techniques afin de renforcer les défenses de votre organismes avant l’hiver, selon le programme ci-dessous.
Le sucre flatte nos papilles, nous stimule et est souvent présenté comme une récompense. Pourtant, la consommation excessive de sucres dits « rapides » et d’aliments à indice glycémique élevé est responsable de nombreuses maladies chroniques : surpoids, troubles métaboliques avec explosion des cas de diabète de type II, maladies inflammatoires, risque cardiovasculaire, caries… Et pourtant, nous avons une envie d’y revenir encore et encore.
L’industrie agro-alimentaire utilise d’ailleurs bien notre tendance à l’addiction au sucre! Le sucre ajouté se cache dans un large éventail de produits alimentaires : céréales du petit déjeuner, dessers lactés, sodas, mais aussi de nombreux plats salés comme les soupes en boîte, sauces, plats cuisinés, pizzas surgelés, biscottes, biscuits apéritif, sandwichs, charcuterie…
Sucres rapides, Indice glycémique :
On a longtemps considéré les sucres simples comme étant rapidement dégradés par les enzymes digestives, d’où leur surnom de sucres rapides, à l’opposé des sucres complexes, digérés plus lentement du fait de leur grande taille, donc considérés comme sucres lents.
Cependant, il s’avère plus pertinent de classer les sucres selon leur pouvoir glycémiant, c’est-à-dire leur capacité à faire varier la glycémie et la sécrétion d’insuline.
C’est ainsi qu’est apparue la notion d’index glycémique :
Index glycémique > 60 = index glycémique élevé = forte libération d’insuline = sucre rapide
Index glycémique < 40 = index glycémique bas = faible sécrétion d’insuline = sucre lent
Enfin, chaque sucre se voit attribuer un pouvoir sucrant, représentant sa capacité à donner une impression de goût sucré.
Addiction ?
Pour rehausser le goût, conserver, assouplir, croustiller, colorer, améliorer la texture, fermenter… les industriels jugent ces ajouts de sucres indispensables.
Or, il est montré que plus on consomme de sucre, moins les récepteurs à la dopamine sur lesquels il agit, nous donnant cette sensation de plaisir, sont réactifs ; il faudra donc en augmenter les quantités ! Cet effet s’ajoute au fait que le sucre affole notre glycémie ou taux de sucre dans le sang, ce qui provoque « l’effet hypo » bien connu quand la glycémie redescend brutalement avec une sensation de malaise et des fringales de sucré. Un cercle vicieux !
Trop de glucose dérègle le métabolisme : un apport régulier et excessif de glucose oblige le pancréas à secréter toujours plus d’insuline. Nos cellules réagissent et le nombre de récepteurs à insuline diminue sur leurs membranes : on parle de « résistance à l’insuline ». Le pancréas doit produire de plus en plus d’insuline pour que le glucose soit utilisé… A la longue, se met en place un diabète de type 2 avec un taux élevé de sucre dans le sang aux effets délétères !
Sources de glucoses : Pains, biscuits, sauces, boissons de l’effort
Le cas du fructose ajouté
Dans les produits transformés, le fructose est présent sous la forme de sirop de glucose-fructose. Ce sirop est obtenu par hydrolysation d’un ingrédient de base bon marché, l’amidon de maïs, via différents procédés industriels. Sources de fructoses : jus de fruit, certaines compotes, glaces, biscuits, confitures, pâtisseries industrielles
Son métabolisme est très différent de celui du glucose : sa prise en charge par le foie aboutit à la formation d’acide urique et produit des enzymes qui favorisent la production de triglycérides dans le sang (facteur de risque d’athérosclérose), l’augmentation des graisses dans le foie (risque de stéatose ou « foie gras ») et leur stockage notamment au niveau abdominal. Sa consommation chronique conduit à de l’hypertension, à une résistance à l’insuline plus rapide qu’avec le glucose, à un surpoids, voire à une obésité, au syndrome métabolique, au diabète et à une stimulation du circuit de la récompense et au désir de s’alimenter.
Il ne faut pas confondre le fructose ajouté à l’alimentation et le fructose naturellement présent dans les fruits et les légumes! En effet, lorsqu’on mange des fruits ou des légumes, l’absorption du fructose au niveau intestinal est nettement ralentie par les fibres. De plus, ils contiennent des antioxydants et phytonutriments naturels bénéfiques. Leur teneur maximale en fructose est de 10 gr en moyenne pour les fruits, 4 gr pour les légumes. Ainsi, il n’est pas possible de dépasser les capacités du foie à métaboliser le fructose des fruits/légumes.
Comment se libérer d’une addiction au sucre :
Être accro au sucre n’est pas lié à vos états émotionnels mais à un désordre biologique orchestré par vos hormones et vos neurotransmetteurs (messagers du cerveau) qui se nourrissent de sucre. Plus vous leur en donner plus ils en redemandent.
L’OMS recommande de ne pas dépasser 25g de sucre / j :
Pour montrer le difficulté, voici quelques repères :
25 g sucre / j = 1barre chocolatée ou 3 portions de corn flakes ou 3 cuillères à café de pâte à tartiner
Il existe plusieurs approchent pour se libérer d’une addiction. La première étape reste toujours d’avoir pris la décision. Ensuite, je vous conseille de vous faire accompagner par un professionnel de la santé qui pourra vous proposer un programme personnalisé.
A l’approche des beaux jours et à l’idée de se mettre en maillot de bain, certains commencent à se dire qu’il serait bien de perdre quelques kilos… Au delà de l’aspect esthétique, les conséquences sur la santé sont connues : hypertension artérielle, diabète, douleurs articulaires, …
Lorsqu’un consultant me demande mon avis, je lui déconseille les régimes basés sur la privation / restriction alimentaire et je m’explique dans les lignes qui suivent.
Retrouver un poids idéal
Il me semble préférable de perdre 4 kilos sur 6 mois et rééquilibrer l’organisme plutôt que de perdre 4 kg en 1 mois et favoriser des mémoires du corps : en réponse à la privation, l’organisme peut s’adapter et limiter les dépenses d’énergies pour faire face à d’éventuelles privations futures.
Pour les personnes qui rencontrent des difficultés à retrouver un poids idéal, il semble intéressant de se pencher sur le métabolisme de base. Le métabolisme de base peut être résumé au nombre de calories que le corps consomme au repos. Il correspond à environ 70 % de nos dépenses énergétiques, contre 10 à 30 % en lien avec l’exercice physique.
Si le métabolisme de base ralentit, il devient difficile d’arriver à son poids idéal…
Causes du ralentissement du métabolisme de base :
l’âge évidemment!
la privation alimentaire,
le manque de sommeil via son influence sur la production d’hormones
une faible masse musculaire : nos muscles consomment des calories même au repos!
une faiblesse de la thyroïde
…
Pour faire le point, je vous encourage à prendre conseil auprès d’un professionnel de santé.
A l’âge de 12 ans, j’ai commencé a avoir de l’acnés. Le dermatologue m’a prescrit des antibiotiques à prendre tous les jours. Face à l’inefficacité de ces antibiothérapies à répétition sur plusieurs années, le dermatologue me conseille de prendre rdv avec un gynécologue.
J’ai alors 16 ans, pas de petit copain. Le gynécologue me demande de faire une prise de sang pour vérifier mon taux de cholestérol, avant de me donner une pilule pour mon acnés. Il me découvre un taux de cholestérol élevé, et commence alors un traitement aux statines. La pilule bloque complètement mes règles pendant 2 ans (à ce moment là, je me dis chouette enfin tranquille, …). Je prends du poids et développe des troubles circulatoires. Mais à chaque mal créé, la médecine me propose une solution : des bas de contentions associés à des vasoconstricteurs…
Après 2 ans sans avoir de règles, je me dis que je ferais bien une pause. L’arrêt du progestatif entraîne la formation de kystes ovariens. Le gynécologue me conseille de reprendre la pilule… J’ai à peine 20 ans et on m’alerte de risques d’infertilité…
Nouveau syndrome pré-menstruel, je commence a avoir des migraines ophtalmiques. On me prescrit de l’aspirine 1g, un pansement gastrique pour contrer les effets secondaires de l’aspirine sur l’estomac et un anti-vomitif…
Aujourd’hui, avec le bagage scientifique et les connaissances en naturopathie dont je dispose, je regarde avec effroi ce que j’ai fait subir à mon organisme pour de l’acnés… Je n’ai pas compris à ce moment là les déséquilibres que je vivais.
En matière de prévention, chacun est responsable de son corps, de son véhicule. Je vous encourage à prendre soin de vous chaque jour, par la pensée, par la respiration et enfin par l’alimentation qui constituent 3 façons de se nourrir. La naturopathie complète ces piliers par d’autres techniques efficaces : exercices physiques, usages des plantes, massages, luminothérapie, …
En devenant mère, pendant un temps nous mettons de côtés certaines de nos activités; nous nous adaptons au rythme du pitchou. Pour ne pas ressentir de frustrations, nous faisons taire certains de nos désirs, puisque de toute façon nous ne pourrons pas les assouvir sereinement pour le moment (voyage, formations, changements de travail, …). Pendant un temps, il est vrai que souvent les mamans se consacrent à leur cher nourrisson puis bébé. Et parfois, un deuxième bout de chou arrive, …
Certaines femmes se sentent isolées, lorsqu’elles gardent leurs enfants. Il y a ce sentiment partagé entre le fait de se réjouir d’être acteur de l’éveil de son bébé et de passer ses journées avec lui et le fait d’avoir besoin de discuter avec des adultes, de rechercher des projets motivants, sollicitant l’intellect … Parfois, vient s’ajouter un sentiment de culpabilité « Pourquoi est – ce je me sens triste alors que je passe la journée avec mon enfant? »…
Il arrive aussi, qu’à force de taire ses envies et de faire passer la famille en premier, le désir et la motivation nous quittent… pour un temps!
Super Maman ! L’héroïne du quotidien
Il y a aussi la charge quotidienne de tâches en tout genre et la fatigue qui s’accumule le long des mois. A tel point, qu’on en arrive à trouver le travail reposant (et oui on peut boire une tasse de thé sans être sollicitée!)
Face à ce phénomène courant de sentiment d’isolement, il est tout de même bon de souligner que les pères sont généralement bien plus présents que pour la génération précédente. Et les papas qui prennent un congé parental peuvent se retrouver avec ce même sentiment ambivalent, entre joie et perte de motivation.
Et pourtant, nos enfants nous enseignent chaque jour à apprécier l’instant présent, à nous réjouir de la pluie et du vent qui souffle. Ils nous amènent à devenir meilleur. Bref, la famille que nous avons construit devient notre socle et nourrit notre essence.
De nombreuses structures permettent aux jeunes parents de se retrouver régulièrement pour échanger entre eux et laisser le temps aux enfants de faire connaissance et de jouer.
Pour ma propre expérience, chaque jour j’ai ressenti le besoin d’être dehors, de me promener au marché, en forêt, de sentir et d’user de mes 5 sens et d’écouter le chant de la nature. Ces moments « ressources » m’ont aidé à rester dans la joie. Je me suis également organisée pour pouvoir chaque semaine m’accorder un temps rien que pour moi (hammam, vélo, prendre un verre avec une amie, …). C’est moment qui me faisaient culpabiliser au début, m’ont aidé à me sentir bien et donc à être bien avec mon enfant et le papa.
A chacun de trouver la position du curseur pour être en équilibre.
La lymphe est un liquide incolore qui récupère et transporte les déchets du corps.
L’obstruction des vaisseaux dans lesquels circule cette lymphe, entraîne une rétention d’eau et induit une intoxination, avec des troubles tels que les chevilles gonflées, la cellulite, …
Le drainage lymphatique, effectué de façon manuelle, est un moment de bien-être et d’apaisement pour les personnes rencontrant ce genre de désagréments. Cette technique utilise des gestes souples, doux et lents pour relancer la lymphe dans la circulation et aider les vaisseaux à retrouver leur bon fonctionnement. Les résultats de cette technique sont optimisés lorsqu’ils sont couplés aux autres techniques naturopathiques (usages des simples, respiration, diététique, …)
Champs d’action
Favorise la relaxation (état de stress)
Rétention d’eau
Cure d’amaigrissement (drainage couplé à la technique du palper rouler)
Cellulite
Active la cicatrisation après une intervention chirurgicale
La mono-diète consiste à ne manger qu’un seul aliment sur une période allant de un à trois repas (certains poursuivent sur 3 jours) sans sucrer ni ajouter de corps gras. En revanche, l’ajout de quelques gouttes de citron, ou d’épices (curcuma, …) est envisageable.
La mono-diète permet de mettre au repos le système digestif, de réduire les ballonnements, d’amorcer un nettoyage de l’organisme sur une base régulière sans ressentir pour autant des frustrations.
Elle n’a pas les contre-indications du jeûne et si l’on prend l’exemple de la mono-diète hebdomadaire, elle peut se poursuivre sur de longues périodes.
L’énergie que l’organisme n’aura pas à utiliser pour les mécanismes de digestion pourra être ramener selon les besoins du corps :
à l’assainissement intestinal,
perte de poids,
…
Mono-diète de pommes :
Mono-diète de pommes
Crue ou cuite, la pomme en mono-diète est réputée pour ses effets de protecteurs gastriques, d’antiseptique intestinal, hypocholestérolémiants, …
Mono-diète de riz :
Idéale pour les frileux et nerveux , ou en période hivernale.
Mono-diète de carottes :
Mono-diète de carottes : crues ou cuites
Dépurative et diurétique, la carotte permet de lutter contre l’anémie, régule le fonctionnement des intestins et est bénéfique tant sur le plan hépatique que pulmonaire.
Du 6 au 8 avril 2018, Caroline Savier (professeur de Yoga) et Malika Cécile (Naturopathe) vous propose un séjour sur le thème de la DETOX de printemps : Yoga élimination, conférences, cueillette, ateliers cuisine, …
Chaque participant bénéficiera au cours de son séjour d’un massage réflexo orienté vers l’élimination et d’un bilan iridologique.
Au plaisir de vous accueillir sur le Couvent des Azillanet (34).